Ne trichez pas

Bien souvent, le salaire précédent sert de point de repère au recruteur. « Nous évaluons alors si ce changement de poste représente une prise de risque pouvant justifier une hausse de salaire. Mais attention aux exigences invraisemblables, comme 30 % d’augmentation ! », explique Denis Mayer. Si votre rémunération précédente était basse, vous pouvez expliquer qu’elle ne correspond pas au marché actuel. Cependant, jouez avec raison : « Négocier une augmentation entre 10 et 15 % est une très bonne opération. Au-delà, c’est très rare ! », confirme Marlène Ribeiro. Attention notamment aux jeunes diplômés gourmands qui se réfèrent uniquement aux salaires indiqués par leur école. « Je vérifie avec eux s’ils sont motivés et capables de ...

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