Les difficultés et les risques

Si le secteur présente de réelles opportunités, il reste exposé à de multiples handicaps.

– Il est sensible à la conjoncture économique (« Quand le bâtiment va, tout va  !  » et inversement). Une récession se répercute d’abord sur le gros œuvre, puis sur le second œuvre, comme l’illustre la crise démarrée en 2008.

– Il est très concurrentiel (sauf dans certaines zones rurales). La concurrence s’exerce souvent dans le second œuvre, par l’« économie grise » (« souterraine » ou « sans facture »), malgré la baisse du taux de TVA applicable aux travaux de rénovation. L’instauration du statut d’auto-entrepreneur a favorisé l’apparition sur le marché d’exploitants inégalement compétents, qui n’hésitent pas à « casser les ...

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